Septembre marque la reprise pour beaucoup… mais pour moi, ce fut le mois de l’attente. Attendre mon congé, attendre mon anniversaire, attendre la réception du roman tant espéré de mon auteur favori. Une période suspendue.
Heureusement, les températures ont commencé à baisser légèrement, et ce rafraîchissement m’a donné un vrai coup de boost. Rien de tel qu’un air plus frais pour retrouver un peu d’énergie.
Mais surtout, septembre a lancé le début de mes trois semaines de vacances. En perspective : un séjour en famille au bord de la mer, suivi d’une escapade à Marrakech. L’occasion parfaite pour souffler et se ressourcer .
Avec l’arrivée de l’automne, je commence à structurer mes projets d’avenir. L’idée est claire : poser les bases maintenant pour pouvoir enclencher les choses dès mon retour de congé. Une sorte de préambule à une nouvelle dynamique qui me tarde de commencer.
Au travail, c’est toujours l’anarchie. Le manque de visibilité, l’absence de stratégie à moyen ou long terme, et une organisation floue semblent être devenus la norme dans bien des structures. J’ai appris à rester zen face à ce genre de contexte, mais cette fois-ci, c’était plus difficile que d’habitude. Sans doute la fatigue accumulée…
Ce mois-ci, j’ai eu la chance de plonger dans des lectures passionnantes. J’ai commencé par le tome 1 de "Campus Drivers", une lecture drôle et addictive, parfaite pour accompagner les derniers jours d’un été encore bien chaud. J’ai ensuite retrouvé l’univers réconfortant de Harry Potter avec le tome 6, toujours aussi magique et apaisant. Le tome 3 de "Ce royaume tissé" m’a littéralement happée, avec une fin qui m’a laissée impatiente de découvrir la suite. J’attendais aussi avec beaucoup d’enthousiasme le tome 3 de "Beasts of the Briar", et il a été largement à la hauteur de mes attentes. En revanche, j’ai abandonné "Nevernight", trop long, trop confus, et pas assez captivant pour me retenir.
Et puis, il y a eu ces petits imprévus : le verre de mes lunettes qui se casse alors qu’il est censé être incassable, et l’évier qui décide de se boucher trois jours d’affilée. Parce que la vie, c’est aussi ça : des imprévus et une bonne dose de patience.
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